Looking for a short cut that I never found …
Dans la catégorie « je teste », c’était pas mal …
Entre la soupe et la gratin !
Comme un David Vincent en jupon, cherchant une recette qu’il ne trouva jamais …
Quoique …
L’aventure commença un soir d’avril, à la lune rousse, sur mon plan de travail : 3 poireaux …
C’est un début !
En les lavant, les coupant, les faisant réduire au beurre moussant, échalotés comme il se doit …
Ma foi …
Je me sentis pousser de nouveau mes ailes blanches dans le dos !
Oui, mais après ?
Après … Envahirent ma poêle des épinards hachés.
1 kilo !
Rien de trop …
En galets, surgelés !
Verts ! ils étaient tout verts !
Trop bons, dit-il, pour des goujats ?
Oh ! Mais Tara ! Laisse au renard ses raisins !
Verts !
Mais avaient-ils le petit doigt en l’air ?
Comme de vrais et bons Martiens ?
je n’en sais rien …
Car déboulèrent
36 rondelles de ma petite bûche de chèvre
Sans qui mon plat eut été bien maigre
Avec ou sans le doigt en l’air !
Dans mon plat à gratin
L’aventure prit faim
Non sans quelque poudre de cumin …
« Now, David Vincent knows that the invaders are here, that they have taken human form. »
3 réflexions sur « Looking for a short cut that I never found … »
Are U feeling allright my dear? J’ai hate de voir la photo de cette rencontre du 3ieme type entre les poireaux et les epinards…
Ce sera difficile ! Ils se sont désintégrés sans laisser la moindre trace … Mais je ne désespère pas de révéler au monde leur existence !
Tu as trouvé le raccourci, le tunnel secret, le « trou de ver » sidéral pour transformer, d’un coup de cuiller au vert, tes quelques légumes indécis, entre gratin et soupe oscillant… C’est follement décalé, ce billet farfelu me plaît, décidément!