Traversée en C

Traversée en C

Suite de ce billet et de ma traversée lexicale …

Merci à Angus, à Tiuscha et au Zèbre pour leurs passages !


Le céruléen des flots
déployait

Ses ailes et ses rêves de cinabre plongeaient

Dans l’horizon. Retrouver,

Enfin, tes mots au goût de chrysopée …

Un rêve qui la portait.

Elle agrafa sa chlamyde et en

Sentit battre les flancs

Dans
les méandres du vent

Plaisir à jamais gouté

Tandis que, l’étoffe
moirée

s’enflammait de chrysanline, à la faveur du couchant

3 réflexions sur « Traversée en C »

  1. Les embruns s’éveillent. C’est heure de grande marée. Un pagure s’enhardit aux pieds de la chlamyde. Lors, un lanier s’élance dans ce rivage polychrome, ému par l’épophtegme de l’errante drapée.
    Bientôt Diane appelle de son voile bleuté la cantate des néréides, à nul homme réservée. Peine perdue, l’errante ère de nouveau, ligne de rivage et de pas mêlés. Son destin l’appelle : quelque raout de nouvelle année à préparer ?

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