Suite de ce billet et de ma traversée lexicale … Merci à Angus, à Tiuscha et au Zèbre pour leurs passages ! Le céruléen des flots déployait Ses ailes et ses rêves de cinabre plongeaient Dans l’horizon. Retrouver, Enfin, tes mots au goût de chrysopée … Un rêve qui la portait. Elle agrafa sa chlamyde et en Sentit battre les flancs Dans les méandres du vent Plaisir à jamais gouté Tandis que, l’étoffe moirée s’enflammait de chrysanline, à la faveur du…
Le temps s’abeausissait, enfin … Sans doute l’heure était-elle venue de prendre une décision … Elle serra contre son cœur son abraxas, qui jamais ne la quittait, puis ses doigts machinalement suivirent la courbe de son alfange. « Adieu-va ! », lança-t-elle à son timonier, lequel répercuta l’invitation auprès de l’équipage. Et la docile embarcation vira de bord, vent devant, sous l’oeil impavide des alcyons. Ses marins comprirent : on venait de refaire provision d’aiguade, les cales dégorgeaient de victuailles ……
Ouvrir la porte du frigo … Oser un œil rempli d’espoir … Espérer quelque offrande … Vide ! Allons ! Tara ! Rêvais-tu ? Point positif, ça te fait rire. C’est déjà ça ! ! Qui plus est, cette rareté des ingrédients ne peut que maintenir en forme ton côté créatif ! Je ne parle même pas du gain de temps, non négligeable, même en vacances. J’ajouterais : SURTOUT en vacances ! Donc … qu’avons-nous ? Ingrédients : _Ah !…