« Ayant poussé la porte étroite qui chancelle … »
A l’Homme Nuage !
Entre la cendre et l’accalmie
Euphémie dérivait
Et mes rimes arrimées
Ne parvenaient plus
A la calmer
Dans le val sans retour
Elle s’est perdue, mon amour
Près du miroir aux fées
On la vit se pencher …
Aride,
Tu le sais
Sans doute
Un vieux souhait
Encore non exaucé …
La ronge et la hante
En ses nuits accablées !
Trop fertile en imagination
Nuit sans doute à toute création !
Qu’un ciel d’oubli s’ouvre à ma Nuit !
One thought on “« Ayant poussé la porte étroite qui chancelle … »”
Le miroir d’eau j’accrocherai au mur
Pour qu’en cette nuit où viendra le murmure
Je puisse m’approcher et serein contempler
D’Euphémie les travaux voire même le reflet